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Le Conseil d’éducation du DSFNO déçu et inquiet

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Le Conseil d’éducation de District (CÉD) du District scolaire francophone du Nord-Ouest (DSFNO) accueille avec déception et inquiétude l’annonce du budget d’immobilisation du ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance (MÉDPE) pour 2019-2020.

Le MÉDPE a annoncé plus tôt aujourd’hui qu’il retardera certains engagements ou projets entrepris antérieurement en matière de planification architecturale et de construction.

Pour le DSFNO, cela signifie que des projets d’améliorations à mi-vie seront suspendus pour deux écoles d’Edmundston, soit la Cité des Jeunes A.-M.-Sormany (CDJ) d’Edmundston et l’école Saint-Jacques. Des améliorations dites « à mi-vie » visent à remédier aux lacunes sur les plans structural, architectural, civil, mécanique et électrique d’une école, ainsi qu’à la moderniser et à prolonger sa durée de vie d’au moins 30 ans. À la CDJ, une partie de la première phase du projet à mi-vie a déjà été amorcée. Elle consiste en la rénovation des gymnases. Celle-ci sera complétée, mais l’ensemble des autres travaux prévus devront attendre.

À l’école Saint-Jacques, une étude pour voir à la faisabilité d’une modernisation à mi-vie devait être entreprise. Celle-ci demeure aussi en suspens pour l’instant.

« C’est certain que nous sommes extrêmement déçus et très inquiets. Après tout, une partie de notre mission, au Conseil d’éducation, consiste à assurer à nos élèves francophones d’aujourd’hui et de demain des infrastructures favorisant leur réussite éducative », commente la présidente du CÉD, Francine Cyr.

D’un autre côté, le CÉD comprend que certains projets d’immobilisation, quand la sécurité des élèves et du personnel n’est pas menacée, puissent être retardés, pour des fins de saine gestion des finances de la province. « Toutefois, la suspension des projets doit être temporaire et de courte durée. Nous y veillerons. Car nos enfants et nos adolescents sont notre avenir. Ils ont le droit à des infrastructures modernes et adaptées à leurs besoins pour maximiser leurs chances de réussir leur éducation et de contribuer à leur tour à l’essor de la communauté francophone du Nord-Ouest », ajoute la présidente.

Le Conseil d’éducation du DSFNO déçu et inquiet

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